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Introduction
La Chine, c’est vraiment une visite qu’il faut vivre dans sa vie. Peut-être même revivre ! C’est une incursion dans un pays tellement différent et tellement fascinant. C’est un des plus grands pays au monde, c’est une histoire riche, une culture rigoureuse, des montagnes mythiques, des rivières, des vallées, des plages, des désert. Tout y est ! Et que dire des innombrables villes de millions d’habitants ? Le Chine est présentement dans son rendez-vous avec l’ouverture sur le monde. Il faut y foncer pour voir un peu de cette Chine traditionnelle qu’on pourra se souvenir pour toujours.
La Chine, c’est vraiment une visite qu’il faut vivre dans sa vie. Peut-être même revivre ! C’est une incursion dans un pays tellement différent et tellement fascinant. C’est un des plus grands pays au monde, c’est une histoire riche, une culture rigoureuse, des montagnes mythiques, des rivières, des vallées, des plages, des désert. Tout y est ! Et que dire des innombrables villes de millions d’habitants ? Le Chine est présentement dans son rendez-vous avec l’ouverture sur le monde. Il faut y foncer pour voir un peu de cette Chine traditionnelle qu’on pourra se souvenir pour toujours.
Carte d’identité
Continent : Asie
Capitale : Beijing
Langage : Mandarin, Cantonais, Sichuan et plusieurs autre langues et dialectes.
Nb. d’habitants : 1,343,239,923 (en 2012) (première position mondiale !)
Espérance de vie : 75 ans
Alphabétisation : 92 %
Faits intéressants :
Continent : Asie
Capitale : Beijing
Langage : Mandarin, Cantonais, Sichuan et plusieurs autre langues et dialectes.
Nb. d’habitants : 1,343,239,923 (en 2012) (première position mondiale !)
Espérance de vie : 75 ans
Alphabétisation : 92 %
Faits intéressants :
- Les biscuits chinois ne sont pas une invention chinoise. Le pâté chinois et le général Tao non plus !
- Les chinois ont inventé le papier, le compas, l’imprimerie, les pâtes, la crème glacée et la poudre à canon pour ne nommer que ceux-là.
- Un cinquième de la population mondiale est chinois.
Le voyage
On dirait qu’il y a toujours un contexte qui fait qu’on part en Asie du Sud-Est. C’est une sorte d’attirance de l’inconnu mélangé avec une attirance pour le dépaysement, mais plus important encore, c’est un contexte humain qui fait qu’on veut aller concevoir sa vie à partir de là-bas. À tout le moins, c’était le cas pour moi.
Le coup de départ a été donné : On partait pour 94 jours en Chine, puis à Hong Kong, en Thaïlande, au Laos, au Vietnam et finalement au Cambodge.
Note importante pour les voyageurs potentiels : Planifiez du temps avant votre départ pour obtenir vos visas. Le sentiment de ne pas avoir reçu par le poste son passeport avec les visas pour la Chine et le Vietnam 48 heures avant le départ n’est pas le meilleur ‘feeling’ !
Après le vol Mtl-Toronto, il y a le vol Toronto-Beijing. Oh, qu’on est tannés d’être dans l’avion quand on arrive, mais en même temps, c’est la dernière attache qu’on a avec la maison parce que quand on entre dans l’avion, c’est le Canada. Quand on en sort, c’est un peu différent.
On passe la douane et nos visas sont acceptés (peut être que le fait de ne pas toucher au panneau avec boutons pressoirs devant le douaniers sévère indiquant si nous sommes contents du service que nous recevons y est pour quelque chose). Tout d’un coup, on ne comprend plus personne. En fait, on a l’impression que tout le monde se ressemble aussi (les asiatiques pensaient la même chose de mon ami et moi qui étions châtains). On ne peut plus lire l’alphabet… Tout ce qu’on voit, c’est la pancarte ‘Exit’ qui nous pousse inexorablement vers la sortie, l’inconnu.
On dirait qu’il y a toujours un contexte qui fait qu’on part en Asie du Sud-Est. C’est une sorte d’attirance de l’inconnu mélangé avec une attirance pour le dépaysement, mais plus important encore, c’est un contexte humain qui fait qu’on veut aller concevoir sa vie à partir de là-bas. À tout le moins, c’était le cas pour moi.
Le coup de départ a été donné : On partait pour 94 jours en Chine, puis à Hong Kong, en Thaïlande, au Laos, au Vietnam et finalement au Cambodge.
Note importante pour les voyageurs potentiels : Planifiez du temps avant votre départ pour obtenir vos visas. Le sentiment de ne pas avoir reçu par le poste son passeport avec les visas pour la Chine et le Vietnam 48 heures avant le départ n’est pas le meilleur ‘feeling’ !
Après le vol Mtl-Toronto, il y a le vol Toronto-Beijing. Oh, qu’on est tannés d’être dans l’avion quand on arrive, mais en même temps, c’est la dernière attache qu’on a avec la maison parce que quand on entre dans l’avion, c’est le Canada. Quand on en sort, c’est un peu différent.
On passe la douane et nos visas sont acceptés (peut être que le fait de ne pas toucher au panneau avec boutons pressoirs devant le douaniers sévère indiquant si nous sommes contents du service que nous recevons y est pour quelque chose). Tout d’un coup, on ne comprend plus personne. En fait, on a l’impression que tout le monde se ressemble aussi (les asiatiques pensaient la même chose de mon ami et moi qui étions châtains). On ne peut plus lire l’alphabet… Tout ce qu’on voit, c’est la pancarte ‘Exit’ qui nous pousse inexorablement vers la sortie, l’inconnu.
On a visité la cité interdite, la place Tiananmen, le palais royal, les jardins, le centre-ville… On voulait en profiter parce que ça avait pris presqu’une demi-journée se rendre en ville. Quand on ne parle pas le mandarin et qu’on se retrouve dans un endroit avec absolument aucun touriste ni personne qui parle l’anglais, il peut être laborieux de trouver le métro (qui était finalement à 15 minutes de marche de l’appartement).
Nous avons vu les sites pendant la journée et nous sommes allés manger avec nos hôtes pour le souper. Nous avons découvert plus tard durant notre périple chinois que lorsqu’on ne parle pas mandarin et qu’on est loin des places touristiques, on ne sait pas trop ce qu’on commande et on ne sait pas trop ce qu’on mange. Quand il y a des photos, on pointe ce qui a l’air bon esthétiquement. Sinon, on pointe les assiettes des gens aux tables voisines des nôtres. Heureusement, les chinois que nous avons croisés étaient tous très patients, très compréhensifs et très souriants devant notre situation.
Nous avons vu les sites pendant la journée et nous sommes allés manger avec nos hôtes pour le souper. Nous avons découvert plus tard durant notre périple chinois que lorsqu’on ne parle pas mandarin et qu’on est loin des places touristiques, on ne sait pas trop ce qu’on commande et on ne sait pas trop ce qu’on mange. Quand il y a des photos, on pointe ce qui a l’air bon esthétiquement. Sinon, on pointe les assiettes des gens aux tables voisines des nôtres. Heureusement, les chinois que nous avons croisés étaient tous très patients, très compréhensifs et très souriants devant notre situation.
Nous sommes ensuite allés voir la muraille de chine (en autobus public pour le plaisir de se débrouiller et pour sauver de l’argent) et sommes allés chez un autre contact CS pour les 2 nuits suivantes (pour ne pas abuser de l’hospitalité). Nous avons pu voir la vie nocturne de Beijing avec ses clubs extravagants et démesurément chers pour un pays communiste. Parlant du mot ‘communiste’, je tiens simplement à mentionner que certains endroits ne nous étaient pas ouverts (quartiers défavorisés de la ville) et que notre blog sur wordpress était bloqué, mais à part de cela, nous n’avons subi aucune pression et n’avons été impliqué dans aucun évènement déplaisant, quel qu’il soit.
Après Beijing, nous avons pris le train pendant 15 heures vers Xi’an pour voir l’armée de guerriers de terre cuite (phénoménal). Nous avons dormi chez un autre contact CS avant de prendre le train pendant 18h vers Shanghai, le centre financier. Nous avons trouvé un petit hôtel où nous avons rencontré un argentin et un américain qui voyageaient ensemble. Ils sont devenus des amis instantanément. Quelques jours plus tard, nous avons pris le train pendant 22h pour nous rendre à Guangzhou. On a voyagé local comme les gens locaux. Dans les couchettes à 3 lits superposés et à manger des nouilles piquantes avec nos amis de l’instant qui riaient avec nous sans que nous puissions communiquer par le langage. Heureusement, ce n’est pas parce qu’on ne pouvait pas leur parler qu’on ne pouvait pas communiquer.
À Guangzhou, nous sommes allés chez l’ami de Montréal que j’avais vu en Autriche (petit monde). Nous sommes restés avec lui quelques jours et nous sommes allés à Hong Kong, où tout le monde parlait anglais. Hong Kong est vraiment comme New-York, mais avec seulement des gens aux cheveux noirs ! Une super découverte.
Where next ?