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Introduction
La Thaïlande est un pays fascinant. Une superbe introduction au voyage en Asie, mais aussi une place pour les voyageurs aguerris à la recherche de nouvelles sensations. Les villes sont cosmopolites, les plages sont paradisiaques, mais il ne faut surtout pas négliger le nord pour avoir une meilleure idée de la véritable culture thaï et du terrain montagneux du pays. La nourriture est délicieuse et les rencontres sont mémorables, que ce soit en randonnée pendant quelques jours, à dos d’éléphant ou simplement autour d’un bucket.
La Thaïlande est un pays fascinant. Une superbe introduction au voyage en Asie, mais aussi une place pour les voyageurs aguerris à la recherche de nouvelles sensations. Les villes sont cosmopolites, les plages sont paradisiaques, mais il ne faut surtout pas négliger le nord pour avoir une meilleure idée de la véritable culture thaï et du terrain montagneux du pays. La nourriture est délicieuse et les rencontres sont mémorables, que ce soit en randonnée pendant quelques jours, à dos d’éléphant ou simplement autour d’un bucket.
Carte d’identité
Continent : Asie
Capitale : Bangkok
Langage : Thaï. L’anglais est la seconde langue de l’élite.
Nb. d’habitants : 67,091,089 (en 2012)
Espérance de vie : 74 ans
Alphabétisation : 93 %
Faits intéressants :
Continent : Asie
Capitale : Bangkok
Langage : Thaï. L’anglais est la seconde langue de l’élite.
Nb. d’habitants : 67,091,089 (en 2012)
Espérance de vie : 74 ans
Alphabétisation : 93 %
Faits intéressants :
- La Thaïlande est la terre d’accueil pour le serpent venimeux le plus long au monde, soit le Cobra royal qui peut mesurer plus de 5 mètres !
- C’est en Thaïlande que furent tourné plusieurs scène du film La Plage avec Léonardo DiCaprio. ‘The Beach’ s’appelle en fait Maya bay et se visite sans difficulté.
- C’est en Thaïlande qu’on retrouve le plus grand Bouddha d’or, la plus grande ferme de crocodile, le plus grand restaurant et l’hôtel le plus haut au monde.
Le voyage
On dirait qu’il y a toujours un contexte qui fait qu’on part en Asie du Sud-Est. C’est une sorte d’attirance de l’inconnu mélangé avec une attirance pour le dépaysement, mais plus important encore, c’est un contexte humain qui fait qu’on veut aller concevoir sa vie à partir de là-bas. À tout le moins, c’était le cas pour moi.
Le coup de départ a été donné : On partait pour 94 jours en Chine, puis à Hong Kong, en Thaïlande, au Laos, au Vietnam et finalement au Cambodge.
Koh San road a été un choc culturel. Nous étions loin des touristes à vivre avec les Chinois pendant des semaines et tout d’un coup, nous arrivons au milieu d’une jungle de touristes, une communauté de blancs. Les gens crient, les gens boivent à toute heure, les gens font ce qu’ils veulent… Très loin de la culture chinoise que nous découvrions quelques heures auparavant.
On dirait qu’il y a toujours un contexte qui fait qu’on part en Asie du Sud-Est. C’est une sorte d’attirance de l’inconnu mélangé avec une attirance pour le dépaysement, mais plus important encore, c’est un contexte humain qui fait qu’on veut aller concevoir sa vie à partir de là-bas. À tout le moins, c’était le cas pour moi.
Le coup de départ a été donné : On partait pour 94 jours en Chine, puis à Hong Kong, en Thaïlande, au Laos, au Vietnam et finalement au Cambodge.
Koh San road a été un choc culturel. Nous étions loin des touristes à vivre avec les Chinois pendant des semaines et tout d’un coup, nous arrivons au milieu d’une jungle de touristes, une communauté de blancs. Les gens crient, les gens boivent à toute heure, les gens font ce qu’ils veulent… Très loin de la culture chinoise que nous découvrions quelques heures auparavant.
Nous sommes restés près de Koh San pendant 3 jours pour découvrir Bangkok, ses temples et ses Tuk-tuk, puis nous sommes partis vers le nord, soit Lopburi (la ville aux singes), Phitsanulok (les temples) et Sukhothai (encore plus de temples). Nous voyagions avec les moyens les moins dispendieux et nous avons loué des vélos sur place pour explorer les temples qui étaient vraiment intéressants.
Au gré des rencontres, nous étions maintenant rendus 4 (avec un français et une suissesse). Nous avons donc décidé en groupe de se rendre vers la frontière de la Birmanie pour sortir des sentiers battus. Nous avons remonté les pistes et le temps pour découvrir une Thaïlande intacte de l’invasion occidentale. Il fallait faire arrêter les autobus en faisait des signes de main pour capter leur attention et on ne savait jamais combien de temps on attendrait avant le prochain, mais les découvertes ont été savoureuses.
Nous avons remonté jusqu’à Chang Mai pour observer une ville du nord pleine de surprises. Que ce soit le marché de nuit, les routes avoisinantes, le monastère bouddhiste dans la montagne ou les bars avec chansonniers, j’ai eu un coup de foudre pour l’endroit.
Nous sommes ensuite allés vers Mae Hong Son pour faire de la randonnée (oui, il y a des sangsues, mais aussi des singes sauvages, des crabes (!?), des tarentules, des oiseaux fabuleux et plusieurs autres curiosités naturelles).
Après, ce fut le tour de Pai pour notre détente (et les bars) avant de nous diriger vers le Laos, là où le temps arrête vraiment.
Après, ce fut le tour de Pai pour notre détente (et les bars) avant de nous diriger vers le Laos, là où le temps arrête vraiment.
Un mois et demi plus tard, après avoir visité le Laos, le Vietnam et le Cambodge, nous sommes retourné en Thailande. Plus particulièrement dans les plages pour des vacances à la fin du voyage.
Nous avons rencontrés d’autres Québécois en nous rendant à Koh Tao pour nos cours de plongée alors nous avons pu négocier un tarif imbattable (nous étions 7 personnes pour prendre des cours alors nous avons eu le prix du gros).
Plongée de nuit, plongée profonde, plongée d’orientation, plongée dans un aquarium avec une visibilité de 30 mètre et une eau à 28 degrés… Toutes les conditions étaient là. La vie était belle et nous repensions à toutes nos expériences des derniers mois. Voyager, c’est aussi échanger.
Quand on commence un voyage, on ne fait que rencontrer des gens qui sont plus avancés dans leur périple, mais à mesure qu’on trace, on devient cette personne qui est plus avancé et qui peut donner des conseils aux nouveaux. C’est comme un condensé de la vie (non pas en comparant avec l’âge d’une personne, mais avec son vécu et son expérience).
Nous avons rencontrés d’autres Québécois en nous rendant à Koh Tao pour nos cours de plongée alors nous avons pu négocier un tarif imbattable (nous étions 7 personnes pour prendre des cours alors nous avons eu le prix du gros).
Plongée de nuit, plongée profonde, plongée d’orientation, plongée dans un aquarium avec une visibilité de 30 mètre et une eau à 28 degrés… Toutes les conditions étaient là. La vie était belle et nous repensions à toutes nos expériences des derniers mois. Voyager, c’est aussi échanger.
Quand on commence un voyage, on ne fait que rencontrer des gens qui sont plus avancés dans leur périple, mais à mesure qu’on trace, on devient cette personne qui est plus avancé et qui peut donner des conseils aux nouveaux. C’est comme un condensé de la vie (non pas en comparant avec l’âge d’une personne, mais avec son vécu et son expérience).
Après Koh Tao, ce fut le tour de notre dernière destination avant le retour à la maison, soit Koh Phi Phi. Je m’étais promis de voir la plage du film ‘The Beach’ alors je suis allé la voir. Maya bay est intéressante pour son symbolisme dans le film, mais avec les hordes de touristes qui s’y trouvent, c’était loin d’être la plus belle plage de l’endroit ! Mais je voulais quand même la voir et je l’ai vu.
Nous avons fait de l’escalade sur Phi Phi Lee et avons apprécié de bons repas sur la plage ainsi que les fameux buckets avant de nous rendre à l’évidence… C’était le temps de retourner à la maison…
Le sac à dos est lourd quand on part, mais il est léger quand on revient. Pourtant, pendant tout le voyage, on ne fait qu’ajouter des expériences dans notre sac. C’est un paradoxe du voyage il faut croire.
Nous avons fait de l’escalade sur Phi Phi Lee et avons apprécié de bons repas sur la plage ainsi que les fameux buckets avant de nous rendre à l’évidence… C’était le temps de retourner à la maison…
Le sac à dos est lourd quand on part, mais il est léger quand on revient. Pourtant, pendant tout le voyage, on ne fait qu’ajouter des expériences dans notre sac. C’est un paradoxe du voyage il faut croire.
Je crois que le fait de voyager nous fait grandir, mais il ne faut pas oublier que le retour fait aussi parti du voyage. Le moment où on se dit ‘ok, je retourne à la maison’ est un aboutissement de pleins d’histoires et d’aventures. Quand on est triste de retourner, c’est soit parce qu’on n’a pas profité et qu’on le regrette, soit qu’on a profité à fond et qu’on ne veut pas que ça se termine.
Triste de retourner, mais heureux de ce qui a été vécu, je suis retourné à Montréal à la fin de l’été pour une nouvelle session scolaire. Tous les voyages sont uniques, mais l’Asie a été par son timing dans ma vie, par le temps passé sur les lieux, par les rencontres uniques que j’ai faites et par les sentiments que j’y ai vécus un voyage qui a transformé ma façon de voir les choses et qui certainement m’a transformé moi comme personne aussi.
Triste de retourner, mais heureux de ce qui a été vécu, je suis retourné à Montréal à la fin de l’été pour une nouvelle session scolaire. Tous les voyages sont uniques, mais l’Asie a été par son timing dans ma vie, par le temps passé sur les lieux, par les rencontres uniques que j’ai faites et par les sentiments que j’y ai vécus un voyage qui a transformé ma façon de voir les choses et qui certainement m’a transformé moi comme personne aussi.