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Introduction
Le Laos est souvent un oublié de l’Asie du Sud-Est. Ce petit pays enclavé est entouré de géants (Thaïlande, Vietnam et Chine (avec le Cambodge à la base)) qui attirent leur lot de touristes. Néanmoins, une visite au Laos est un retour dans le temps. C’est en fait le sentiment de vivre le temps qui s’arrête. Les sourires sont contagieux, les soirées sont festives, les échanges sont nombreux. Les Laotiens ont un pays merveilleux et il est vraiment appréciable de le découvrir.
Le Laos est souvent un oublié de l’Asie du Sud-Est. Ce petit pays enclavé est entouré de géants (Thaïlande, Vietnam et Chine (avec le Cambodge à la base)) qui attirent leur lot de touristes. Néanmoins, une visite au Laos est un retour dans le temps. C’est en fait le sentiment de vivre le temps qui s’arrête. Les sourires sont contagieux, les soirées sont festives, les échanges sont nombreux. Les Laotiens ont un pays merveilleux et il est vraiment appréciable de le découvrir.
Carte d’identité
Continent : Asie
Capitale : Vientiane
Langage : Le Lao est la langue officielle, mais on y parle aussi le français et l’anglais.
Nb. d’habitants : 6,586,266 (en 2012)
Espérance de vie : 63 ans
Alphabétisation : 73 %
Faits intéressants :
Continent : Asie
Capitale : Vientiane
Langage : Le Lao est la langue officielle, mais on y parle aussi le français et l’anglais.
Nb. d’habitants : 6,586,266 (en 2012)
Espérance de vie : 63 ans
Alphabétisation : 73 %
Faits intéressants :
- On peut tout payer en Bath thaïlandais ou en dollars US au Laos (en plus des Kips Laotiens).
- Très peu de gens au Laos ont l’eau courante. Encore moins on une eau courante non polluée.
- Il est intéressant de voir un match de Kataw qui est l’équivalent d’un match de volleyball, mais sans utiliser les mains ni les bras.
Le voyage
On dirait qu’il y a toujours un contexte qui fait qu’on part en Asie du Sud-Est. C’est une sorte d’attirance de l’inconnu mélangé avec une attirance pour le dépaysement, mais plus important encore, c’est un contexte humain qui fait qu’on veut aller concevoir sa vie à partir de là-bas. À tout le moins, c’était le cas pour moi.
Le coup de départ a été donné : On partait pour 94 jours en Chine, puis à Hong Kong, en Thaïlande, au Laos, au Vietnam et finalement au Cambodge.
Déjà, les 2 jours de bateaux pour se rendre à Luang Prabang sont une obligation à voir le temps avec une autre perspective. Les Laotiens ne se compliquent pas la vie avec tout ce qu’on peut appeler ‘horaire’, ‘cédule’ ou ‘rendez-vous’… Tout va au gré du vent, quand il vente.
On dirait qu’il y a toujours un contexte qui fait qu’on part en Asie du Sud-Est. C’est une sorte d’attirance de l’inconnu mélangé avec une attirance pour le dépaysement, mais plus important encore, c’est un contexte humain qui fait qu’on veut aller concevoir sa vie à partir de là-bas. À tout le moins, c’était le cas pour moi.
Le coup de départ a été donné : On partait pour 94 jours en Chine, puis à Hong Kong, en Thaïlande, au Laos, au Vietnam et finalement au Cambodge.
Déjà, les 2 jours de bateaux pour se rendre à Luang Prabang sont une obligation à voir le temps avec une autre perspective. Les Laotiens ne se compliquent pas la vie avec tout ce qu’on peut appeler ‘horaire’, ‘cédule’ ou ‘rendez-vous’… Tout va au gré du vent, quand il vente.
On arrive à Luang Prabang où on découvre non seulement les meilleurs boissons fruités frappées, mais des chutes et cascades magnifiques. On découvre aussi une vie de nuit saisissante et pleine de voyageurs qui poussent leur exploration de l’Asie du Sud-Est un peu plus loin que les plages de la Thaïlande.
Voyager avec un ami n’est pas toujours facile. Ce ne fut pas facile pour nous tous les jours. Nous avons donc décidé de se séparer pour quelques jours le temps que j’explore le nord du Laos. On s’est donné rendez-vous une semaine plus tard à Vang Vieng.
Partir seul vers l’inconnu est déstabilisant au début, mais on devient rapidement apte. La technique est simple. Il faut mettre un pas devant l’autre et garder la tête haute pour découvrir de nouvelles aventures.
Quand je suis arrivé à Muang Ngoy après une autre journée et demie de pirogue qui valsait dans la rivière, j’ai réalisé à quel point j’étais loin de tout ce que je connaissais. La rue principale (la seule rue), était une allé boueuse où les enfants jouaient.
La maison où je logeais était en fait une des maisons des habitants. Le soir, je jouais de la guitare pour les enfants et nous échangions des rires. Pendant les journées, j’explorais les rizières pieds nus et j’apprenais comment planter du riz avec les paysans. Vraiment, le temps au Laos arrête complètement.
Partir seul vers l’inconnu est déstabilisant au début, mais on devient rapidement apte. La technique est simple. Il faut mettre un pas devant l’autre et garder la tête haute pour découvrir de nouvelles aventures.
Quand je suis arrivé à Muang Ngoy après une autre journée et demie de pirogue qui valsait dans la rivière, j’ai réalisé à quel point j’étais loin de tout ce que je connaissais. La rue principale (la seule rue), était une allé boueuse où les enfants jouaient.
La maison où je logeais était en fait une des maisons des habitants. Le soir, je jouais de la guitare pour les enfants et nous échangions des rires. Pendant les journées, j’explorais les rizières pieds nus et j’apprenais comment planter du riz avec les paysans. Vraiment, le temps au Laos arrête complètement.
Après mon escapade, j’ai rejoint mon ami à Vang Vieng pour du tubing (en gros, c’est une activité où les touristes sautent dans une rivière avec des tubes flotteurs et visitent des bars le long du chemin). Le tubing de Vang Vieng est une activité très agréable, mais qui montre à quel point le fil sur lequel est inscrit ‘attention, être en état d’ébriété dans une rivière inconnu dans un pays où les hôpitaux sont insalubres peut être dangereux’ est déconnecté pour certaines personnes.
Nous avons ensuite visité Vientiane (la capitale endormie du pays endormi) avant de quitter vers le Vietnam par un autobus qui a pris 28 heures. Oui. 28 heures.
Nous avons ensuite visité Vientiane (la capitale endormie du pays endormi) avant de quitter vers le Vietnam par un autobus qui a pris 28 heures. Oui. 28 heures.